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Top 10 des Bonnes Pratiques pour une Communication avec Impact

Avez-vous déjà eu l’impression de parler dans le vide lors d’une séance, malgré toute votre préparation ? Ou ressenti cette frustration quand votre message, pourtant clair dans votre tête, est complètement mal interprété par votre équipe ? Vous n’êtes pas seul. Dans le monde professionnel suisse, où la précision et l’efficacité sont des valeurs cardinales, la communication avec impact est devenue une compétence incontournable. Une communication efficace n’est plus un luxe, c’est une nécessité stratégique. Qui que vous soyez, maîtriser l’art de communiquer avec impact transformera votre influence professionnelle. Découvrez ces dix bonnes pratiques concrètes qui feront de vous un communicateur d’exception.

le monde professionnel

Sommaire :

  1. Clarifiez votre intention avant de parler
  2. Structurez vos idées pour plus de clarté
  3. Adaptez votre message à votre interlocuteur
  4. Soignez votre langage non verbal
  5. Utilisez l’écoute active pour mieux comprendre
  6. Maîtrisez vos émotions pendant les échanges
  7. Donnez du feedback constructif
  8. Gérez les conversations difficiles avec sérénité
  9. Pratiquez l’assertivité
  10. Préparez vos prises de parole importantes

1. Clarifiez votre intention avant de parler

Combien de fois entrez-vous dans une discussion sans vraiment savoir où vous voulez aller ? C’est comme partir en randonnée dans les Alpes sans carte ni boussole.

Pourquoi c’est essentiel

Toute communication efficace commence par une intention claire. Voulez-vous informer votre équipe des nouveaux objectifs du trimestre ? Convaincre la direction d’approuver votre projet ? Motiver vos collaborateurs après une période difficile ? Ou apaiser une tension au sein de votre département ? Chaque situation nécessite une approche différente. Sans cette clarté d’intention, votre message risque de partir dans tous les sens, comme une fondue qui ne prend pas.

Une communication interne efficace peut augmenter la productivité des équipes. Mais cette efficacité dépend directement de la clarté de l’intention initiale. Pensez-y : quand vous recevez un email professionnel dont vous ne comprenez pas l’objectif, que faites-vous ? Vous le mettez de côté, exactement.

Comment l’appliquer

Avant toute interaction importante, prenez quelques instants pour vous poser cette question fondamentale : quel message je veux vraiment faire passer ? Et surtout, quelle action j’attends de mon interlocuteur ? Notez-le si nécessaire. Par exemple, si vous devez annoncer une réorganisation dans votre entreprise à Bâle, votre intention pourrait être : « Je veux que mon équipe comprenne les raisons du changement et se sente rassurée sur son avenir ». Cette clarification vous permettra de structurer votre discours autour de ces deux axes : explication rationnelle et réassurance émotionnelle.

Concrètement, créez-vous un petit rituel. Avant chaque présentation, chaque réunion importante ou même chaque appel téléphonique délicat, prenez 30 secondes pour définir votre intention. Vous verrez, c’est comme ajuster les lunettes : tout devient soudainement plus net.

clarifier votre intention

2. Structurez vos idées pour plus de clarté

Un message mal structuré, c’est comme un fonctionnement d’horlogerie suisse avec des pièces dans le désordre : ça ne peut pas fonctionner correctement.

Le pouvoir de la simplicité

Vous est-il déjà arrivé d’assister à une présentation où l’orateur saute du coq à l’âne sans logique apparente ? Un message confus entraîne inévitablement incompréhension et perte d’attention. Dans notre environnement professionnel suisse où le temps est précieux, aller droit au but n’est pas seulement apprécié, c’est attendu. La méthode des 7C de la communication, popularisée par Manager-Go, insiste particulièrement sur la clarté et la concision comme piliers fondamentaux.

Imaginez que vous expliquez le nouveau système de gestion des congés à votre équipe. Si vous commencez par parler des détails techniques, puis revenez sur les raisons du changement, avant de mentionner les dates d’implémentation, puis de détailler les exceptions… vous perdrez tout le monde en route. La structure, c’est le fil rouge qui permet à votre audience de vous suivre sans effort.

Comment l’appliquer

Utilisez systématiquement une logique en trois temps, simple mais redoutablement efficace : introduction – idée principale – conclusion. Cette structure tripartite, héritée de la rhétorique classique, fonctionne pour tout : un email, une présentation, une conversation de couloir ou même un message WhatsApp professionnel.

Dans l’introduction, plantez le décor en une ou deux phrases maximum. Annoncez de quoi vous allez parler. Dans le corps de votre message, développez votre idée principale avec des arguments, des exemples concrets adaptés au contexte suisse. Si vous parlez à une PME, utilisez des références qu’elle comprend. Enfin, concluez en rappelant votre message clé et en indiquant l’action attendue. Cette structure guide naturellement votre interlocuteur et augmente drastiquement vos chances d’être compris et retenu.

cadre du knowledge management

3. Adaptez votre message à votre interlocuteur

Parleriez-vous de la même manière à votre directeur financier et à un stagiaire fraîchement diplômé ? Évidemment non. L’adaptation, c’est la clé de la pertinence.

L’importance de l’écoute

Chaque personne a sa propre manière de comprendre, d’assimiler l’information et de prendre des décisions. Certains veulent des chiffres et des tableaux Excel bien remplis. D’autres préfèrent les grandes lignes et la vision stratégique. Adapter son message est crucial pour créer une vraie connexion et faciliter la prise de décision.

Dans le contexte multiculturel de la Suisse, cette adaptation devient encore plus cruciale. Votre collègue alémanique appréciera peut-être une approche directe et factuelle, là où votre partenaire romand privilégiera une discussion plus relationnelle. Il ne s’agit pas de stéréotypes, mais de sensibilité culturelle et individuelle.

Comment l’appliquer

Identifiez le profil de votre interlocuteur avant de communiquer. Est-il plutôt rationnel, guidé par les faits et les chiffres ? Émotionnel, sensible aux histoires et aux valeurs ? Visuel, ayant besoin de schémas et d’illustrations ? Ou kinesthésique, préférant l’expérimentation concrète ? Une fois que vous avez identifié son style, ajustez votre vocabulaire, votre ton et vos supports en conséquence.

Par exemple, si vous présentez les résultats trimestriels à votre CFO, privilégiez les données chiffrées, les graphiques détaillés et l’analyse factuelle. Mais si vous partagez ces mêmes résultats avec votre équipe commerciale, mettez l’accent sur les histoires de réussite, les impacts concrets sur le terrain et la reconnaissance des efforts. C’est le même message, deux emballages différents.

adapter votre message

4. Soignez votre langage non verbal

Vous pouvez prononcer les mots les plus inspirants du monde, mais si votre corps dit le contraire, devinez qui gagnera ? Votre corps, à tous les coups.

Le corps parle avant les mots

Voici une statistique qui devrait vous interpeller : selon les recherches du psychologue Albert Mehrabian, 93% de l’impact d’un message dépend du non-verbal. Les mots ne représentent que 7%, le ton de la voix 38%, et le langage corporel 55%. Autrement dit, votre posture, votre regard, vos gestes et votre voix influencent massivement la perception de votre message.

Imaginez un responsable RH qui annonce des mesures de bien-être au travail en restant figé derrière son bureau, les bras croisés, sans sourire. Crédible ? Pas vraiment. Le message verbal dit une chose (« nous nous soucions de vous »), mais le corps en crie une autre (« je suis fermé et distant »). Cette incohérence crée immédiatement de la méfiance.

Comment l’appliquer

Gardez une posture ouverte : épaules détendues, bras décroisés, corps orienté vers votre interlocuteur. Maintenez un regard franc sans fixer de manière intimidante. Le contact visuel en Suisse est apprécié, il témoigne de votre sincérité et de votre engagement. Adoptez une gestuelle naturelle qui ponctue vos propos sans les parasiter. Vos mains peuvent souligner vos idées, mais évitez de tripoter votre stylo ou de jouer avec vos cheveux, signes de nervosité.

Entraînez-vous. Filmez-vous lors d’une présentation ou demandez à un collègue de confiance de vous observer. Vous découvrirez probablement des tics que vous ne soupçonniez pas. Et rappelez-vous : l’authenticité prime sur la perfection. Un langage corporel naturel et congruent avec votre message vaut mieux qu’une gestuelle travaillée mais artificielle.

soigner votre attitude non verbale

5. Utilisez l’écoute active pour mieux comprendre

L’écoute active, ce n’est pas simplement se taire pendant que l’autre parle en attendant son tour. C’est un véritable investissement dans la relation.

Écouter, ce n’est pas attendre son tour de parler

Beaucoup entendent, mais peu écoutent réellement. La différence ? L’écoute active, concept développé par le psychologue Carl Rogers, implique une présence totale et une volonté sincère de comprendre le point de vue de l’autre. Dans un environnement où la relation humaine est essentielle, l’écoute active est un véritable levier de différenciation.

Les malentendus en entreprise peuvent être attribués à un manque d’écoute. Pensez à votre dernière réunion d’équipe. Combien de participants étaient vraiment présents, versus combien consultaient discrètement leur smartphone ou préparaient mentalement leur prochaine intervention ? L’écoute authentique se fait rare, ce qui la rend d’autant plus précieuse.

Comment l’appliquer

Reformulez ce que vous avez entendu pour valider votre compréhension : « Si je comprends bien, tu dis que… » Cette simple technique évite 90% des malentendus. Montrez de l’intérêt sincère par des signaux non verbaux : hochez la tête, maintenez le contact visuel, penchez-vous légèrement en avant. Posez des questions ouvertes pour approfondir : « Comment as-tu vécu cette situation ? » plutôt que « Ça va ? ». Laissez des silences. Le silence n’est pas un vide à combler, c’est un espace de réflexion.

Dans le contexte professionnel suisse, où l’efficacité est valorisée, on peut être tenté de couper court aux discussions. Résistez à cette tentation. Investir cinq minutes d’écoute active peut vous faire gagner des heures de clarifications ultérieures. C’est comme accorder un violon avant un concert : ça prend du temps, mais c’est indispensable pour la qualité du résultat.

ecoute active

6. Maîtrisez vos émotions pendant les échanges

Les émotions sont comme des condiments : en juste dose, elles enrichissent la communication. En excès, elles la gâchent complètement.

L’impact de la maîtrise émotionnelle

La colère, la frustration, la nervosité ou même l’enthousiasme excessif peuvent brouiller votre message. Vous avez déjà envoyé un email sous le coup de l’énervement que vous avez regretté deux heures plus tard ? Nous sommes passés par là. Lorsque vous ressentez des émotions intenses comme la colère ou la peur, le mieux est de laisser passer la tempête avant de communiquer.

Les émotions perturbent notre jugement et nous font dire des choses que nous ne pensons pas vraiment, ou du moins pas de cette manière. Dans une culture professionnelle suisse qui valorise la mesure et le professionnalisme, perdre ses moyens émotionnellement peut sérieusement entamer votre crédibilité.

Comment l’appliquer

Respirez, tout simplement. Avant de répondre à un email qui vous agace ou d’entrer dans une discussion tendue, prenez trois respirations profondes. Observez votre ressenti sans le juger. « Je me sens en colère » plutôt que « Cette personne est insupportable ». Recentrez-vous sur les faits plutôt que sur les jugements. Au lieu de dire « Tu es toujours en retard, c’est inadmissible ! », dites « J’ai remarqué que tu es arrivé avec 15 minutes de retard aux trois dernières réunions. Peux-tu m’expliquer ce qui se passe ? »

Si vous sentez que l’émotion prend le dessus, n’hésitez pas à demander une pause. « J’ai besoin de quelques minutes pour digérer cette information » est une phrase parfaitement professionnelle. C’est même un signe de maturité émotionnelle. Vous ne chassez pas l’émotion, vous la gérez. Nuance capitale.

maitriser ses emotions

7. Donnez du feedback constructif

Le feedback, c’est le carburant de la progression professionnelle. Mais attention : mal dosé, il peut exploser en plein vol.

Le feedback comme outil de progression

Un retour clair et bienveillant améliore la performance collective. C’est prouvé. Pourtant, combien de managers évitent de donner du feedback par peur du conflit ou par manque de technique ? Le résultat ? Des collaborateurs qui répètent les mêmes erreurs, faute d’avoir été éclairés. Le feedback constructif n’est pas une critique déguisée, c’est un cadeau professionnel quand il est bien fait.

Dans les entreprises suisses, où la qualité du travail est une fierté nationale, le feedback devient un outil stratégique de maintien de l’excellence. Il ne s’agit pas de pointer du doigt, mais d’accompagner vers l’amélioration continue.

Comment l’appliquer

Formulez vos retours selon la méthode DESC, recommandée par les experts en communication : Décrire les faits objectivement (« Lors de la présentation client hier, tu as interrompu trois fois ton collègue »), Exprimer votre ressenti ou l’impact (« J’ai ressenti de la gêne et je pense que le client a pu percevoir un manque de cohésion »), Suggérer une solution concrète (« Pour les prochaines présentations, je propose qu’on définisse clairement qui prend quel point à l’avance »), et Conclure positivement (« Ton expertise technique était remarquable, avec cette coordination en plus, on sera imbattables »).

Cette méthode évite les pièges classiques : le feedback sandwich trop prévisible, la critique floue qui ne permet pas de s’améliorer, ou l’attaque personnelle qui braquer immédiatement. Donnez votre feedback rapidement après l’événement concerné, dans un cadre privé et avec une intention sincère d’aide. Et n’oubliez pas : le feedback positif est tout aussi important que le constructif. Célébrez les réussites autant que vous adressez les points d’amélioration.

feedback constructif

8. Gérez les conversations difficiles avec sérénité

Ah, les conversations difficiles. Celles qu’on repousse au lendemain, puis au surlendemain, jusqu’à ce que la situation devienne ingérable. Ça vous parle ?

L’art de désamorcer les tensions

Les désaccords font partie de la vie professionnelle. C’est même sain, signe d’une diversité de pensées et d’engagement. Le problème n’est pas le désaccord en soi, mais la manière dont on le gère. Selon Revue Gestion HEC Montréal, l’échange et l’écoute sont cruciaux dans la gestion des situations délicates. Il faut établir une véritable conversation et pas seulement un échange d’informations.

Une conversation difficile mal gérée peut créer des ressentiments durables, dégrader l’ambiance d’équipe et même conduire à des départs. À l’inverse, une conversation difficile bien menée peut renforcer la confiance et résoudre des problèmes latents depuis longtemps.

Comment l’appliquer

Restez factuel. Concentrez-vous sur les comportements observables et leurs impacts, pas sur les intentions supposées ou les traits de caractère. Écoutez activement les besoins de l’autre. Souvent, derrière une position inflexible se cache un besoin légitime non exprimé. Cherchez un terrain d’entente. La solution gagnant-gagnant n’est pas qu’un joli concept, c’est souvent possible quand on sort du conflit positionnel pour explorer les intérêts sous-jacents.

Préparez vos conversations difficiles. Notez les points factuels, anticipez les réactions possibles, définissez votre objectif. Et surtout, choisissez le bon moment et le bon endroit. Une conversation difficile un vendredi à 17h30 dans un couloir bondé ? Recette de l’échec assuré. Privilégiez un moment calme, un lieu neutre et privé. Et rappelez-vous : courage n’est pas synonyme de brutalité. On peut être direct et bienveillant simultanément.

conversations difficiles

9. Pratiquez l’assertivité

L’assertivité, c’est trouver l’équilibre d’un volume entre le murmure qui se perd et le cri qui blesse.

Trouver l’équilibre entre affirmation et respect

L’assertivité permet de s’exprimer clairement sans agressivité ni soumission. C’est affirmer ses besoins, ses limites et ses opinions tout en respectant ceux des autres. Dans le contexte professionnel, où la hiérarchie existe mais où l’autonomie est valorisée, l’assertivité est une compétence particulièrement appréciée. Elle démontre maturité professionnelle et équilibre personnel.

Être assertif, ce n’est pas être égoïste ou agressif. C’est simplement reconnaître que vos besoins ont autant de légitimité que ceux des autres. Ni plus, ni moins. Cette reconnaissance mutuelle est la base de relations professionnelles saines et durables.

Comment l’appliquer

Exprimez vos besoins avec confiance tout en respectant ceux des autres. Utilisez le « je » plutôt que le « tu » accusateur : « J’ai besoin de plus d’autonomie sur ce projet » plutôt que « Tu me contrôles tout le temps ». Apprenez à dire non sans culpabiliser. « Non, je ne peux pas prendre ce dossier supplémentaire cette semaine, ma charge est déjà à 120%. Je peux l’intégrer la semaine prochaine ou nous pouvons voir avec un autre collègue » est une réponse assertive parfaite.

Travaillez votre posture corporelle également. L’assertivité se voit : regard direct mais pas agressif, voix posée et ferme, gestuelle ouverte. C’est cohérent avec votre message verbal. Et si vous trouvez difficile d’être assertif avec votre hiérarchie, commencez par vous entraîner dans des situations à faible enjeu. L’assertivité, comme toute compétence, se développe par la pratique régulière.

assertivite

10. Préparez vos prises de parole importantes

On ne part pas à l’assaut du Cervin en chaussons. Même logique pour une prise de parole importante : la préparation n’est pas optionnelle, elle est vitale.

Anticiper, c’est déjà réussir

Une intervention efficace repose sur la préparation du fond ET de la forme. Contenu brillant mais mal présenté ? Vous perdrez votre audience. Présentation impeccable mais contenu creux ? On s’en souviendra, mais pas en bien. Les deux doivent aller de pair. Les orateurs qui semblent naturels et spontanés ? Ils ont répété. Beaucoup. Steve Jobs passait des heures à peaufiner ses présentations légendaires.

Dans le contexte professionnel suisse, où la rigueur et la préparation sont des valeurs fondamentales, une prise de parole improvisée peut être perçue comme un manque de professionnalisme ou de respect envers l’audience.

Comment l’appliquer

Répétez vos messages clés jusqu’à pouvoir les exprimer naturellement, sans les réciter comme un robot. Anticipez les questions difficiles et préparez vos réponses. Soignez particulièrement votre introduction : les 30 premières secondes déterminent si votre audience vous écoutera vraiment ou pensera à sa liste de courses. Commencez par une anecdote, une question intrigante ou un chiffre surprenant.

Testez votre matériel technique à l’avance. Ce projecteur capricieux, cette connexion Wi-Fi aléatoire, ce micro qui siffle… ce sont des classiques qui peuvent ruiner une présentation. Arrivez en avance, vérifiez tout. Et préparez un plan B au cas où. Enfin, visualisez votre succès. Les sportifs de haut niveau utilisent cette technique, pourquoi pas vous ? Imaginez-vous livrant votre présentation avec aisance et recevant des retours positifs. Cette visualisation positive réduit le stress et améliore la performance.

préparer vos prise de parole

Conclusion : Communiquer avec impact, un apprentissage continu

Communiquer avec impact ne s’improvise pas : cela se travaille chaque jour, dans chaque interaction. En appliquant ces dix bonnes pratiques – clarifier votre intention, structurer vos idées, adapter votre message, soigner votre non-verbal, pratiquer l’écoute active, maîtriser vos émotions, donner du feedback constructif, gérer les conversations difficiles avec sérénité, pratiquer l’assertivité et préparer vos prises de parole – vous renforcez progressivement votre crédibilité, votre confiance et votre influence au sein de votre organisation.

Rappelez-vous : Rome ne s’est pas construite en un jour, et vous ne deviendrez pas un communicateur d’exception du jour au lendemain. Mais chaque petite amélioration compte. Chaque reformulation réussie, chaque feedback bien donné, chaque conversation difficile bien gérée vous fait progresser. Dans le monde professionnel suisse, où l’excellence est la norme, investir dans vos compétences en communication n’est pas du temps perdu, c’est du temps investi dans votre carrière et votre épanouissement professionnel.

Alors, quelle pratique allez-vous mettre en œuvre dès demain ? Commencez par une seule, maîtrisez-la, puis passez à la suivante. La communication avec impact, c’est comme l’horlogerie suisse : ça demande de la précision, de la patience et de la persévérance. Mais le résultat en vaut largement l’effort.

formation communiquer avec impact au quotidien

FAQ :

Comment savoir si ma communication est vraiment efficace ?

Observez les résultats concrets : vos interlocuteurs comprennent-ils du premier coup et passent-ils directement à l’action ? Demandez du feedback explicite (« Mon message était-il clair ? ») et mesurez des indicateurs comme le taux de réponse à vos emails ou le niveau d’engagement en réunion. Les malentendus répétés sont le signal d’alarme d’une communication à améliorer.

Que faire si je suis introverti et que je trouve la communication épuisante ?

Être introverti n’est pas un handicap, c’est un style différent avec ses forces propres. Jouez sur vos atouts : les introvertis excellent dans l’écoute active et la communication écrite réfléchie. Préparez davantage vos interventions orales, accordez-vous des temps de récupération après les interactions intenses, et rappelez-vous que Bill Gates et Barack Obama sont aussi introvertis.

Comment gérer quelqu’un qui refuse complètement de communiquer ?

Cherchez d’abord à comprendre pourquoi cette personne se ferme : méfiance, peur, conflit non résolu ? Essayez différents canaux (écrit, oral) et proposez un cadre sécurisant comme un tête-à-tête informel autour d’un café. Si rien ne fonctionne, impliquez un tiers neutre (RH, médiateur) et documentez vos tentatives tout en maintenant les canaux ouverts.

Combien de temps faut-il pour vraiment améliorer sa communication ?

Les premières améliorations sont visibles en quelques semaines avec une pratique régulière, par exemple en appliquant consciemment l’écoute active. Pour intégrer profondément ces compétences et les rendre automatiques, comptez plusieurs mois de pratique délibérée. La bonne nouvelle ? Vos compétences en communication resteront pertinentes toute votre carrière et continueront de s’affiner avec l’expérience.

Est-ce que suivre ces bonnes pratiques ne rend pas la communication trop calculée et pas assez spontanée ?

Pensez à apprendre à conduire : au début, chaque action semble artificielle, mais avec la pratique, tout devient automatique et naturel. C’est exactement pareil avec la communication : les techniques deviennent des réflexes, libérant votre attention pour l’authenticité et la spontanéité. L’authenticité et la technique ne sont pas opposées, elles sont complémentaires.

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ITTA est le leader des solutions et services de formation en informatique et de gestion de projets en Suisse romande.

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